BALAND, Jean-MarieVervinckt, MaxantMaxantVervinckt2025-05-142025-05-142025-05-142020https://hdl.handle.net/2078.2/21651Cette étude vise à identifier l’existence d’un potentiel effet rebond dans la consommation de bois et dans l’émergence de symptômes liés à la pollution de l’air intérieur (problèmes de toux et irritation des yeux), selon le fait que les ménages au Népal utilisent un poêle amélioré plutôt qu’un poêle à feu ouvert ou un foyer traditionnel. Les résultats qui en découlent: Il se peut que suite à l’adoption d’un poêle amélioré, les ménages utilisateurs peuvent se sentir plus à l’aise pour cuisiner, ce qui conduit à un effet rebond sur le temps de cuisson et une fréquence d’utilisation du poêle plus élevée pouvant éventuellement s’accompagner d’une mauvaise utilisation du poêle et d’un mauvais entretien qui mène à l’émergence d’un effet rebond dans la consommation de bois pouvant à son tour conduire à un effet rebond dans l’émergence à court terme de symptômes liés à la pollution de l’air.Effet rebondPoêle amélioréEffets rebond portant sur la consommation de bois et l'émergence de symptômes liés à la pollution de l'air intérieur suite à l'utilisation d'un foyer amélioré : le cas du Népaltext::thesis::master thesisthesis:27380