De Croix, SéverineChamberlin, ThibautThibautChamberlin2025-07-082025-07-082025-05-1820252025-05-20https://hdl.handle.net/2078.2/43580Ce mémoire, à la fois littéraire et didactique, s’appuie sur une théorie avancée par Daniel Compère : l’échelle de l’extraordinaire. Cette théorie, encore peu connue, distingue différents degrés de narration dans les œuvres de Jules Verne, allant de l’ordinaire le plus banal à l’extraordinaire le plus inexplicable. L’objectif de ce travail est d’analyser certaines œuvres de Jules Verne, ainsi que d’autres récits d’aventures, à la lumière de cette échelle. Cette approche permet non seulement de mieux cerner les spécificités des romans d’aventures, mais aussi de revisiter des œuvres parfois négligées au profit d’autres genres paralittéraires. Dans une seconde partie, une recherche dans le champ de la didactique est menée, fondée sur le processus de conception continuée dans l’usage. Elle consiste en la création, l’expérimentation et l’ajustement d’un outil pédagogique, plus précisément d’un atelier d’écriture créative destiné à des élèves du troisième degré de l’enseignement secondaire supérieur. Ce dispositif vise à vérifier dans quelle mesure l’échelle de l’extraordinaire peut être exploitée en classe de français, notamment pour structurer les récits d’aventures produits par les élèves.AventuresÉchelleExtraordinaireDaniel CompèreJules VerneAnalyse littéraireDidactiquethéorieL’échelle de l’extraordinaire dans les romans d’aventures : Analyse littéraire et mise à l’épreuve didactiquetext::thesis::master thesis