Thunus, SophieWalker, CaroleCostadau, AudeAudeCostadau2025-05-142025-05-142025-05-142023https://hdl.handle.net/2078.2/33975Contenu : Par la réalisation de ce travail de recherche, j’ai décidé de m’intéresser plus particulièrement au travail des professionnels de première ligne, au niveau de leurs pratiques préventives, afin de déterminer quelles sont les complications qu’ils rencontrent au niveau : médical, sexuel, reproductif et psychologique pour les femmes concernées, mais également de définir comment les professionnels vont agir sur celles-ci. Méthodes : La recherche qualitative s’est basée sur huit entretiens, qui ont été réalisés en respectant la diversité des professionnels préalablement définie, à savoir : infirmières, médecins, sage-femme, sexologue, psychologue, assistante sociale et animatrice communautaire. Par le biais des entretiens, divers facteurs ayant une influence sur la pratique préventive ont été identifiés. Par l’analyse de ces facteurs, il a été possible de déterminer ceux qui ont une incidence positive sur la prévention des complications liées aux mutilations génitales féminines, ainsi que ceux qui entravent les pratiques préventives. La prise en compte des directives de l’OMS a permis de définir le public interrogé et de réaliser l’outil guide d’entretien. Résultats : La recherche a confirmé que les mutilations génitales féminines constituent une problématique de Santé Publique. La recherche a identifié des facteurs favorables à la mise en place de pratiques préventives, reposant en partie sur les connaissances et l'expérience des professionnels interrogés. Il est primordial d'être attentif aux dimensions culturelles du public concerné et de répondre à leurs besoins de manière appropriée. Cependant, des facteurs défavorables ont également été identifiés, tels que le manque de formation de certains professionnels de santé, fragilisant ainsi les pratiques préventives.mutilations génitales fémininescomplicationsrisquesprofessionnels de santérelationtext::thesis::master thesisthesis:41260