Camilleri, SylvainPeters, ThomasThomasPeters2025-05-142025-05-142025-05-142018https://hdl.handle.net/2078.2/12148Afin de résoudre le problème de la possibilité de la connaissance, Husserl est passé d’une phénoménologie « réaliste » à une phénoménologie idéaliste transcendantale. La difficulté de ce passage vient du fait qu’il ne semble pas avoir été guidé par les choses mêmes. En ce sens, ce travail se propose de repenser la phénoménologie de la connaissance en revenant sur la période pré-transcendantale. Il semble en effet que les outils méthodologiques mis en place à cette période permettent de fonder phénoménologiquement la connaissance sans pour autant tomber dans l’idéalisme transcendantal. Parmi ces outils il y a la variation eidétique ainsi que l'apport de la phénoménologie du temps. En ce sens, il semble que le temps et l’eidétique permettent de repenser la phénoménologie psychologique tout en dépassant les présupposés inhérents qu’elle véhicule.HusserlPhénoménologieTempsConnaissanceLa temporalité au fondement de la phénoménologie husserlienne de la connaissancetext::thesis::master thesisthesis:16218