Romainville, CélineAiteur, KenzaKenzaAiteur2025-05-142025-05-142025-05-142023https://hdl.handle.net/2078.2/32922Les demandes de restitution d’objets d’art issus de la période coloniale par les États d’origine ne font que se multiplier. Ce patrimoine colonial a été longuement et fièrement affiché dans des musées spécialement dédiés à la colonisation au cours du 20ème siècle. Ce fut le cas du Musée de Tervueren, désormais renommé « Africa Museum ». Pourtant, depuis quelques décennies, ces collections coloniales sont remises en question pour des raisons morales. Dans ce débat d’intérêt public, la restitution des restes humains présents sur le territoire des anciens pays colonisateurs est un sujet particulièrement sensible en raison des enjeux éthiques que ces restes soulèvent eu égard à leur provenance, de facto, humaine. La Belgique détient, elle aussi, dans ses musées, des restes humains, en raison de son passé colonial. Qu’en faire ? Les restituer ou les exposer ? Ce mémoire plaidera pour une restitution des restes humains et pour l’importance d’adopter une lex specialis.RestitutionCongoAfriqueRestes humainsMuséesBiens culturelsLa restitution des restes humains au Congo : vers une lex specialis ?text::thesis::master thesisthesis:39602