Lekeuche, PhilippeLefèvre, CarolineCarolineLefèvre2025-05-142025-05-142025-05-142018https://hdl.handle.net/2078.2/1253Dans ce mémoire, nous nous penchons sur la vie, l’œuvre et le rapport à l’œuvre de Scott Fitzgerald, écrivain de la génération perdue des années vingt. En proie à l’alcool, il écrira tout ce qu’il peut écrire sur le fait qu’il ne sait plus écrire dans une brillante nouvelle intitulée La fêlure en 1936. Elle décrit de manière poignante l’effondrement d’un homme, d’une vie. La première phrase de ce texte donne le ton : « Toute vie est une processus de démolition ». Cette fêlure est représentée à travers tous ses romans autobiographiques. Comment comprendre dès lors cette fêlure ? Quel est le rapport entre sa fêlure, l’alcool et l’écriture ? Par quel procédé a-t-il pu dépasser cette incapacité d’écrire pour engendrer un nouveau geste d’écriture ? Autant de questions que nous tenterons d’éclairer par une analyse qualitative et inductive du support biographique à notre disposition, en appui sur un cadre de référence théorique psychanalytique et philosophique de typologie littéraire et psychologique.Fêlure FitzgeraldLa fêlure chez Francis Scott Fitzgerald : un éclairage psychologiquetext::thesis::master thesisthesis:13217