Sandrine RoginskyCapizzi, Marie-FlaviaMarie-FlaviaCapizzi2025-05-142025-05-142025-05-142024https://hdl.handle.net/2078.2/36426Depuis la démocratisation des réseaux sociaux (Bertrand,2018), on observe de plus en plus de mobilisations féministes sur les plateformes numériques. Cette présence a notamment été accentuée par l’arrivée de #MeToo qui a permis de libérer la parole au sujet des violences sexuelles faites aux femmes. Cela a notamment donné lieu à de nouvelles pratiques militantes offrant ainsi la possibilité à des féministes ordinaires (Jacquemart et Albenga, 2015) de soutenir et de s’engager dans le féminisme en ligne. Mais pour certains chercheurs, cet engagement, individualisé, ne serait pas suffisant. Le militantisme en ligne ne permettrait pas de changement social et renverrait à une forme de « slacktivisme » (Morozov, 2009). Mais qu’en est- il réellement ? À l’aide d’entretiens semi-directifs réalisés auprès d’abonnées des comptes Instagram belges @balance.ton.folklore et @lameute_lln, ainsi que nombreuses lectures, cette recherche a pour vocation de répondre à la question suivante : Les modes d’interactions individuelles, induits par les réseaux sociaux numériques, participent-ils à reconfigurer l’engagement au féminisme ?FéminismeEngagementRéseaux sociauxMilitantismeL’engagement féministe à l’ère des réseaux sociaux : Le cas des comptes Instagram : @balance.ton.folklore et @lameute_lln comme lieu de mobilisations contre les violences sexuelles au sein des campus belgestext::thesis::master thesisthesis:44135