Heidelberger, AuroreRenard, LouiseLouiseRenard2025-05-142025-05-142025-05-142017https://hdl.handle.net/2078.2/1436Si dès le début du XXe siècle, le cinéma s’empare de la danse dans les films des premiers temps, le cinéma muet et les grandes comédies musicales hollywoodiennes, depuis quelques années, la scène chorégraphique, elle, s’approprie les procédés cinématographiques. Les chorégraphes se saisissent du langage du cinéma qu’ils intègrent au vocabulaire chorégraphique et utilisent les moyens de production d’un film dans l’élaboration de leurs œuvres scéniques. En effet, les écrans, les images et les caméras prolifèrent sur la scène de la danse. Quelles sont les nouvelles possibilités perceptives pour le public face aux spectacles mêlant langage cinématographique et chorégraphique ? Quels concepts pouvons-nous emprunter au cinéma qui permettraient de rendre plus pertinent l’analyse d’un spectacle dansé ? Qu’offre le dispositif filmique à l’espace de la représentation ? Le travail chorégraphique de Michèle Noiret propose une œuvre singulière entrelaçant cinéma et danse. Nous nous intéresserons dans cette recherche à cette artiste belge et à la relation qui unit ces deux arts du mouvement dans son projet intitulé long et courts-métrages scéniques regroupant les spectacles : Hors-champ, Radioscopies et L'Escalier Rouge.Michèle Noiretdanse-cinémaintermédialitédanse contemporaineécranvidéo-liveDanse-Cinéma : rencontres et croisements : une relation essentielle chez la chorégraphe Michèle Noirettext::thesis::master thesisthesis:10165