Tilleuil, Jean-LouisDidier, CéliaCéliaDidier2025-05-142025-05-142025-05-142017https://hdl.handle.net/2078.2/1907De tout temps écrire a été, pour les femmes, un acte subversif. Longtemps décriée par rapport à son homologue masculin, la littérature féminine a dû se créer une identité propre, au travers de thèmes, de genres, ou d'esthétiques particuliers. Violette Leduc est de ces femmes-là qui ont qui ont transgressé les carcans, qui ont osé aller au-delà des définitions restrictives imposées par les hommes, mais aussi par celles imposées par le concept ambigu de « littérature féminine ». Dans ce travail, nous proposons donc, au travers de l'analyse de 'Ravages', d'interroger le rapport privilégié existant entre littérature "féminine" et littérature du corps ; nous privilégierons par ailleurs trois axes de questionnement : l'érotisme, le mortifère et l'androgynie.littérature-femmeViolette Leduc érotisme mortifère androgynieÉrotisme, androgynie et mortifère : le rapport au corps dans l'écriture-femme : analyse de "Ravages" de Violette Leductext::thesis::master thesisthesis:11775