Van Moeseke, GeoffreyThielemans, BenoitMeyer, SandrineCourbebaisse, AudreyJungers, Jean-JacquesIm, RomaneRomaneIm2025-05-142025-05-142025-05-142023https://hdl.handle.net/2078.2/32791La question du travail occupe une place centrale dans nos sociétés contemporaines et soulève de nombreuses problématiques. La pollution engendrée par les déplacements domicile-travail et la délocalisation de nos activités productives, l’épuisement des travailleurs et la difficulté de l’accès à l’emploi… Face à ces problématiques, ce TFE propose une réflexion autour de la question du travail, et ce, dans un contexte architectural et social particulier : la cité-jardin. Pensées à l’origine comme des lieux de vie et de travail économiquement autonomes, les cités-jardins se résument aujourd’hui à de simples ensembles résidentiels. D’autre part, à Bruxelles, la Shifting Economy vise à redéfinir les grandes lignes de l’activité économique bruxelloise afin de contribuer aux défis sociaux et environnementaux. Cette transition entraine l’apparition de nouvelles formes et lieux de travail dans le paysage urbain. L’enjeu de cette recherche aura été de voir dans quelle mesure, la réinsertion d’activité économique au sein des cités-jardins peut participer à leur revitalisation mais aussi répondre aux objectifs et ambitions de la ville de Bruxelles en termes de travail. Le cas d’étude est celui de la Cité Moderne dans le nord de Bruxelles. Cet ensemble de logements sociaux modernistes présente un déficit d’infrastructures socio-économiques, mais aussi un taux élevé de chômage. Le quartier fait actuellement l’objet d’un Contrat de Quartier Durable.Cité-jardinTravailTiers-lieuLogement socialDéveloppement localBerchem-Sainte-AgatheEco-architecturesHabiter et travailler dans une cité-jardin aujourd’hui : comment l’activité économique peut-elle participer à la revitalisation des cités-jardins ?text::thesis::master thesisthesis:40926