Deldicque, Louisede Vaulx de Champion, ChiaraChiarade Vaulx de ChampionFrançois, NicolasNicolasFrançois2025-05-142025-05-142025-05-142022https://hdl.handle.net/2078.2/26850Actuellement, l’inclusion des transgenres femmes dans les compétitions féminines est au centre de certains débats. Nombreux sont ceux qui pensent que les athlètes transgenres détiennent un avantage. Sachant que la testostérone est un déterminant majeur dans la performance de nombreuses disciplines sportives, les questionnements et les inquiétudes planent puisque le transgenre femme a eu des concentrations élevées de testostérone tout au long de sa vie, avant la mise en place de sa thérapie hormonale. Cette revue narrative a pour but d’apporter des réponses concernant ce potentiel avantage. Au vu des données actuelles et à la suite d’une thérapie hormonale, le transgenre détient un avantage en termes de force et de mémoire musculaire. Il maintient également des poumons plus grands que la femme cis et sa performance sur 1,5 miles est supérieure. Concernant la densité minérale osseuse et la section transversale du muscle, les résultats ne permettent pas d’apporter de conclusion. Si les concentrations d’hémoglobine et d’hématocrite sont similaires à celles des femmes cis, ces résultats ne permettent pas de conclure pour la performance aérobie qui dépend de bien plus de paramètres. En conclusion, le débat reste ouvert et davantage d’études spécifiques à chaque discipline sportive sont nécessaires pour le futur.transgenresportbiologieinclusiontext::thesis::master thesisthesis:34339