Van Moeseke, GeoffreyMeyer, SandrineThielemans, BenoitCourbebaisse, AudreySchicks, JulietteJulietteSchicks2025-05-142025-05-142025-05-142024https://hdl.handle.net/2078.2/38808La fin de vie, les soins palliatifs et la mort sont des sujets assez tabous dans notre culture européenne. Lors de mes recherches, j’ai pu constater qu’il est clairement établi que la fin de vie idéale est de mourir chez soi, à la maison, entouré de ses proches. Ce n’est malheureusement pas toujours possible. J’ai essayé, à travers ce travail, d’analyser et de comprendre comment la conception d’un lieu pouvait être mis au service de l’accompagnement humain dans ce dernier moment de vie. Mes recherches se sont orientées vers 2 axes principaux. Premièrement, j’ai recherché des centres de soins palliatifs et de fin de vie existants dans le monde. J’ai analysé leur implantation, le projet thérapeutique, l’infrastructure intérieure et extérieur et l’accompagnement proposé. J’ai ensuite rencontré des acteurs du milieu des soins palliatifs qui m’ont permis de comprendre les rouages du système et les enjeux en Belgique. Suite à mes différentes lectures, le point de départ de ma méthode est une étude réalisée par l’académie américaine de médecine palliative et des hospices qui met en lumière des facteurs sociaux ou environnementaux qui peuvent avoir un impact sur la qualité de vie d’une personne. Mon projet est un établissement de Middle Care palliatif qui, tout en en étant une institution, puisse être plus convivial qu’un hôpital ou un service de soins palliatifs et que le patient, sa famille et les soignants soient au cœur du projet. Ce lieu met l’accent sur les espaces verts, les circulations et espaces de transitions et un espace dédié aux familles des patients.Fin de viesoins palliatifsinstitutiontransitionsL'architecture palliative: la conception au service de l'accompagnement de fin de vie.text::thesis::master thesisthesis:46275