Van Grambezen, AurianneDuru-Onweni, Chikerendu HollyChikerendu HollyDuru-Onweni2025-05-142025-05-142025-05-142022https://hdl.handle.net/2078.2/29093La prééclampsie est un trouble gestationnel qui se caractérise par l’apparition, dès la 20ème semaine de grossesse, d’une hypertension associée à une protéinurie ou à un dysfonctionnement des organes de la mère voire même aux deux. Bien qu'il s’agisse d’une des principales causes de mortalité et de morbidité maternelles et périnatales à travers le monde, il n’existe toujours pas à ce jour de traitement pour soigner cette pathologie. L’aspirine et la pravastatine sont des médicaments connus qui ne sont pas habituellement prescrits chez la femme enceinte. Cependant, leur usage aurait un intérêt dans le cadre de la prééclampsie. En effet, l’aspirine est déjà recommandée en prophylaxie par différentes autorités scientifiques mais celles-ci ne sont pas toujours en accord notamment quant à la dose quotidienne à administrer. La pravastatine a montré des résultats intéressants lors d’essais précliniques et son efficacité chez la femme enceinte commence à être évaluée dans de premières études cliniques. L’objectif de ce mémoire est d’évaluer s’il existe une différence d’efficacité entre les doses d’aspirine recommandées en prévention de la prééclampsie mais aussi de voir si la pravastatine a un quelconque effet bénéfique sur cette affection chez la femme enceinte à risque.prééclampsiepréventionaspirinepravastatineL'aspirine et la pravastatine comme traitements préventifs de la prééclampsie chez la femme enceinte à risquetext::thesis::master thesisthesis:34086