Flament, ChristopheVlasschaert, Anne-LiseAnne-LiseVlasschaert2025-05-142025-05-142025-05-142018https://hdl.handle.net/2078.2/5159« En nous basant sur les sources et les thèses du XIXe- au XXIe siècle, quel bilan pouvons-nous tirer aujourd’hui des divisions ancestrales (VIIIe-VIe s.) d’Athènes que sont les génè, les phratries et les tribus » ? Pour étudier cette question, nous nous sommes basée sur diverses inscriptions athéniennes et sources littéraires comme Homère, Hérodote ou le Pseudo-Aristote. Par la suite, en tenant compte de l’éclairage fourni par nos sources, nous analysons les différentes thèses modernes écrites à ce sujet. Notre objectif principal est de déterminer la nature de ces groupes et leurs fonctions dans la société archaïque. À la fin de ce mémoire, nous arrivons cependant à des réponses qui demeurent hypothétiques. Ces groupes sont finalement bien plus qu’uniquement des ensembles familiaux ou religieux comme nous le pensions au début. Ils pourraient être caractérisés comme des divisions liées à la famille (biologique ou mythique) et possédant différentes fonctions politiques et/ou religieuses dans la cité athénienne. Chacun de ces groupes s’imbrique dans la pyramide structurant Athènes avec les phylai comme division la plus étendue, les phratries comme un des sous-groupes des phylai et, dans les phratries, les génè comme l’ensemble le plus restreint.génèphratriesphylaitribus ionniennesInstitutions ancestralesfestivals athéniensAthènes archaïquedivisions archaïquesDes divisions ancestrales athéniennes du VIIIe-VIe siècle avant J.-C. : qui sont les génè, les phratries et les phylai ?text::thesis::master thesisthesis:16412