Reverseau, AnneBertrand, HéloïseHéloïseBertrand2025-05-142025-05-142025-05-142024https://hdl.handle.net/2078.2/36645Le monde actuel peut se voir affublé du qualificatif "cruel". Le climat de violence relayé par les divers médias y invite. La cruauté est difficilement définissable mais elle est représentable. Boris Vian, à travers ses romans, exprime et dépeint les différentes facettes qu'elle peut incarner. Il parvient à dire l'inavouable et à donner corps à la cruauté. Ce mémoire tente de mettre en lumière les rapports psychologiques, physiques et langagiers que cultive l'œuvre romanesque de Vian avec la cruauté. Nous étudierons : L'Herbe rouge, L'Arrache-cœur, L'Ecume des jours et L'Automne à Pékin. Ces quatre romans ne sont pas les plus connus pour leur violence mais reflètent l'animosité omniprésente dans la société actuelle. La cruauté y apparait sous bien des formes et dans toute son intensité aussi bien sur le plan moral, psychologique et physique.CruautéBoris VianL'Automne à PékinL'Arrache-coeurL'Ecume des joursL'Herbe rougeLangageCatharsisL'incarnation de la cruauté dans L'Herbe rouge, L'Arrache-cœur, L'Ecume des jours et L'Automne à Pékin de Boris Vian.text::thesis::master thesisthesis:43813