CHARLIER, SOPHIEKoudoglo, EnyonamEnyonamKoudoglo2025-05-142025-05-142025-05-142017https://hdl.handle.net/2078.2/265L’étude porte sur la sous représentativité des jeunes filles dans les formations techniques et professionnelles. Plus précisément, il s’agit de déterminer les pesanteurs sociales qui constituent des blocages pour les filles dans leurs désirs d’embrasser les cursus scolaires que la société tend très souvent à masculiniser ; et aussi de voir l’impact que ces pesanteurs ont dans le choix scolaire de certaines jeunes filles. Sur l’aspect méthodologique, nous procédé comme suit : une recherche documentaire, un questionnaire et un guide d’entretiens proposés aux jeunes filles et des interviews réalisés selon la technique d’entretien semi-dirigé. Les résultats obtenus montrent que : 1. Il existe bel et bien des freins sociologiques tels les stéréotypes, le poids de la religion, les pressions familiales qui empêchent les jeunes filles de faire des formations techniques et professionnelles ; 2. Pour améliorer le taux de représentativité des jeunes filles dans ces formations, il faut des incitants pour leurs permettre de développer leurs ‘’empowerment’’ et de cette manière, elles prendront conscience du pouvoir qu’elles ont et de leurs capacités à faire des formations dans les domaines techniques et professionnelles.éducation scolairestéréotypespressions familialesgenreempowermentFemmes/ Formations techniques et professionnellestext::thesis::master thesisthesis:12152