Draelants, HuguesVandebroek, LauraLauraVandebroek2025-05-142025-05-142025-05-142021https://hdl.handle.net/2078.2/24753Ce mémoire a pour ambition de documenter l’alliance possible entre jeu vidéo et réussite scolaire. De ce fait, la distance est de mise envers tous ces discours alarmistes prônant parfois la non-légitimité du jeu vidéo. L’hypothèse avancée est que tout dépend de l’usage qui en est fait. Effectivement, nous faisons le pari de la diversité tant au niveau des joueurs, des jeux que des styles de jeux. Tâchons également de garder à l’esprit que la pratique excessive ne se revêt pas nécessairement d’une caractéristique problématique puisque de plus en plus de jeunes investissent de leur temps dans les jeux vidéo, sans pour autant montrer des signes visibles d’une quelconque nuisance vidéoludique sur le plan de la scolarité. L’enquête qualitative menée par entretiens semi-directifs auprès de treize « bons » élèves ayant une pratique « intensive » du jeu vidéo met en évidence que le critère temporel n’est pas tant décisif dans la combinaison entre jeu vidéo et réussite scolaire, il est davantage question du critère du plaisir. Effectivement, la pratique vidéoludique se doit de contribuer à l’épanouissement de l’adolescent et ne doit pas être envisagée comme contraignante. Les joueurs hiérarchisent leurs activités desquelles l’école figure en tête de liste. Le travail avant le plaisir.jeu vidéoécoleadolescents"bon" élèvepratique intensiveConcilier pratique intensive des jeux vidéo et réussite scolaire. Portraits de joueurstext::thesis::master thesisthesis:32800