Grosjean, BenedicteBachollet, ThéophaneThéophaneBachollet2025-05-142025-05-142025-05-142021https://hdl.handle.net/2078.2/25560Issues d’un urbanisme de secteur et de zonage, les zones d’activités sont le fruit de l’essor de l’automobile post seconde guerre mondiale suscité par l’extraction de pétrole fournissant une énergie conséquente et bon marché. Le maillage d’infrastructures routières créées en conséquence a généralisé l’accessibilité du territoire, ouvrant la voie à son homogénéisation. Les zones d’activités sont certainement les espaces au sein desquels cette homogénéisation atteint son paroxysme. En effet, elles sont intrinsèquement génériques car conçues par une société globalisée permettant d’importantes économies d’échelle. De ce fait, elles sont vectrices de pertes d’identités territoriales et source de nombreux problèmes environnementaux locaux (imperméabilisation des sols, ilots de chaleur … etc.) et globaux (émissions de gaz à effet de serre … etc.). En conséquence, elles sont incompatibles avec les enjeux que pose la crise écologique et climatique actuelle. Le recyclage de ces espaces s’avère donc une nécessité. De par ce constat, le présent travail pose la question suivante : Comment recycler une zone d’activités dans un contexte de crise écologique ? Le caractère générique de ces zones étant incompatible avec les enjeux écologiques actuels, le projet développé se fonde sur les nécessités et besoins du site et du territoire. De ce fait, il cherche à proposer une solution alternative au projet de lotissement de la ZACC Morel prévoyant l’implantation de logement sur des terres agricoles tournaisienne. Pour ce faire un projet d’espace publique est développé, ce dernier servant de support au renouvèlement urbain et donc à l’implantation de logements. Ce TFE vise donc à la création d’un Plan Guide à l’image du travail de A. Chemetoff pour l’Ile de Nantes.TournaiFroyennesZone d'activitésMobilitéUrbanismeProtection du patrimoineZonageÉcologiePolitique du logementtext::thesis::master thesisthesis:30831