Debruyne, EmmanuelLeirens, OreanaOreanaLeirens2025-05-142025-05-142025-05-142022https://hdl.handle.net/2078.2/27820Au travers de la plume de neuf diaristes, nous avons tenté d’observer la vision que les Belges se font du mouvement Rex. Parti collaborationniste, Rex a fait couler beaucoup d’encre. Mais comment est-il vu ? Dans la Capitale ou dans les villages, le mouvement de Léon Degrelle n’est pas vu d’un bon œil. Notre analyse s’est portée sur trois dimensions : les représentations, les émotions et les identités. En tant que groupe socialement construit, nos belges patriotes ont construit des représentations spécifique à Rex ; un régime émotionnel structurant les réactions face au mouvement et une identité collective, basée sur la conception d’une communauté imaginaire et imaginé symbolisé par la Belgique Libre, leur permettant de s’opposer à Rex. Nos diaristes se sont formés en tant que collectivité pour faire face à des individus ayant abandonné la nation. L’opposition à Rex devient le symbole de la lutte pour les valeurs patriotiques : pour la Liberté, pour la Loyauté et pour la Belgique.Occupation allemandeSeconde Guerre mondialerexismerexismWorld War IIGerman OccupationCollaborationBelgiqueBelgiumtext::thesis::master thesisthesis:37294