De Jaeger, DominiqueLefebvre, ArthurDepas, YsalineYsalineDepasLefebvre, CéliaCéliaLefebvre2025-05-142025-05-142025-05-142023https://hdl.handle.net/2078.2/32547Introduction : L’incontinence urinaire d’effort (IUE) est définie comme « une perte involontaire d’urine survenant lors d’un exercice physique, toux ou éternuement » et est très prévalente chez les femmes. Etant donné que peu voire pas d’études ne se sont intéressées à ce trouble périnéal en Belgique, l’objectif est de mesurer la prévalence de l’IUE parmi les étudiantes nullipares au sein de la Faculté des Sciences de la Motricité de l’UCLouvain, ainsi que d’observer si cette prévalence varie en fonction de l’intensité de l’impact du sport et du niveau de pratique. Méthode : Les données ont été récoltées via un questionnaire anonyme en ligne. Résultats et discussion : Sur les 184 réponses analysées, 38 étudiantes ont rapporté souffrir d’IUE durant les 4 dernières semaines. La majorité ont des pertes environ une fois par semaine, de faible quantité et lors d’un mouvement en particulier. L’apparition des fuites urinaires à l’effort est significativement corrélée avec le moment de pratique. L’intensité de l’impact du sport et le nombre d’heures de pratique semblent être des facteurs influençant la présence d’IUE. Conclusion : Un cinquième des étudiantes de l’échantillon souffre d’IUE. La diffusion des connaissances à ce sujet, et principalement en Belgique, semble donc être indispensable au vu des chiffres obtenus et pour pallier son tabou.incontinence urinaireurinary incontinencefemme nulliparenulliparous femaleprévalenceprevalencetext::thesis::master thesisthesis:39268