Delefortrie, ThaisChanvillard, CécileFontaine, ChristineLedent, GéraldZakostelsky, ArnaudArnaudZakostelsky2025-05-142025-05-142025-05-142024https://hdl.handle.net/2078.2/38816La Belgique compte parmi ses voies navigables une majorité de voies d’eau artificielles : les canaux. Hérités des débuts de son industrialisation, ils sont modernisés à plusieurs reprises pour augmenter leur gabarit. Des traces de ceux-ci cohabitent particulièrement dans la Région du Centre. Pour rester un mode de transport concurrentiel, la durée de trajet doit être minimale, et les écluses les moins nombreuses. Pour ce faire, des tracés empruntent des parcours calculés accompagnés d’ouvrages d’art révolutionnaires. Ces efforts n’auront pas suffi à utiliser le plein potentiel de cet outil économique rêvé. Aujourd’hui, les coûts d’entretien de cette infrastructure rencontrent le manque de moyens, alors que sa promotion touristique a, elle aussi, du mal à rester à flot. Le travail s’interroge sur la requalification des espaces publics reconnus, constitués par ces canaux avec un objectif : rendre possible l’appropriation de ces aires par des usages locaux hors navigation et, par le même biais, participer à la valorisation de celles-ci. Les réponses apportées sont basées sur un diagnostic des existences (im)matérielles, administratives et d’usages le long des quatre canaux.Réseau navigableVoie d’eauRequalification de siteAnalyse de paysageÉcluseCanal Charleroi-BruxellesCanal du CentreLa voie d’eau réappropriée : une exploration des canaux de la Région du Centre, entre traces et superpositionstext::thesis::master thesisthesis:46276