Reynaert, ChristineCoquiart, PascalDelmotte, CharlineCharlineDelmotte2025-05-142025-05-142025-05-142016https://hdl.handle.net/2078.2/18291Plusieurs chercheurs (Mayland, Silverstein, Géonet, Zech, de Sutter,…) ont démontré l’influence, sur la sexualité des individus, d’une intervention basée sur la pleine conscience. Cependant, la majorité de ces études n’incluent pas de personnes atteintes d’un handicap dans leur échantillon. Le sujet du présent mémoire est une recherche visant à apporter des éléments de réponses aux hypothèses suivantes : - La pratique de la pleine conscience améliore le vécu subjectif de la sexualité. - Le vécu subjectif de la sexualité est lié à la compassion vis-à-vis de soi-même et des autres. - Le vécu subjectif de la sexualité est lié à l’estime de soi. - La pratique de la pleine conscience augmente la compassion vis-à-vis de soi-même et des autres. - La pratique de la pleine conscience réduit le sentiment subjectif de souffrance lié à la solitude. A cette fin, notre mémoire se compose de deux parties. La première, approche théorique, d’une part fait état de l’impact de l’infirmité motrice cérébrale sur la vie affective, sociale et sexuelle des individus et d’autre part développe les effets démontrés scientifiquement de la pleine conscience sur la sexualité. La seconde, approche empirique, tente de vérifier nos hypothèses par des méthodes qualitative et quantitative sous forme de questionnaires. Dans notre mémoire, l’ambition principale est d’identifier une possible influence de la pratique de la pleine conscience sur la sexualité de personnes atteintes d’infirmité motrice cérébrale.sexualitéhandicappleine conscienceinfirmité motrice cérébraleÉtablissement d'un état des lieux de la santé sexuelle dans un centre pour personnes atteintes d'infirmité motrice cérébrale : mise en place d'un projet de pleine consciencetext::thesis::master thesisthesis:3769