Vrielink, JogchumMouton, AliceAliceMouton2025-05-142025-05-142025-05-142022https://hdl.handle.net/2078.2/29266Le 16 juin 2022, la journée internationale du travail domestique a été l’occasion pour les travailleuses domestiques sans papiers de la ligue de la CSC Bruxelles de manifester pour leurs droits. En réalité, cette grève revêtait plusieurs enjeux pour ces femmes et travailleuses. D’une part, demander lé régularisation de tous·tes les travailleur·euses sans papiers et d’autre part, montrer la dimension genrée du travail domestique en mettant l’accent sur le fait que les emplois de care et domestiques sont exercés majoritairement par des femmes, avec et sans papiers. Ces divers événements mettent en avant l’urgence de changements tant sociaux, juridiques que politiques concernant les questions migratoires nationales et le respect des droits des personnes migrantes. La Belgique n’est pas restée indifférente à cette nécessité de prévoir un cadre juridique adéquat. C’est pourquoi, elle a ratifié la Convention 189 de l’OIT. Mais, malgré la ratification de la Convention 189 de l’OIT, le système de protection des droits de ces travailleuses n’est toujours pas effectif et adéquat.Travailleuses domestiquesmigrantesConvention 189 de l'OITSans-papiersviolences de genreLa protection belge des travailleuses migrantes sans-papiers contre les violences sexuelles et sexistes vécues sur leurs lieux de travail au travers du prisme du caretext::thesis::master thesisthesis:37683