Mory, AgnesBavay, VictoriaVictoriaBavay2025-06-242025-06-242025-06-2120252025-06-21https://hdl.handle.net/2078.2/42741Ce travail a pour vocation de valoriser la préservation de ses territoires et se présente comme un guide, face à l’urbanisation croissante, afin d’accompagner les néo-ruraux dans une insertion sensée et intégrée aux paysages bucoliques. À travers cet écrit et par l’analyse de nos modes de productions et de constructions, nous questionnerons la place laissée au vivant dans nos manières d’habiter et nous explorons comment l’architecture peut devenir un levier de sobriété et de conscience territoriale. L’habitat représentant aujourd’hui 46 % de l’usage des sols artificialisés, il y a un réel enjeu à intervenir dans nos logements. Ainsi, à travers le renouvellement urbain, ce projet est tout d’abord de l’ordre de l’urbanisme. Il tente de définir les possibilités d’insertion de logement, à l’intérieur des limites d’un village de l’Avesnois, contenant ainsi l’urbanisation non-contrôlée et concentrant les nouvelles constructions au sein des sols déjà urbanisés. Il s’insère dans des dynamiques de centralité et de mobilité. Par la suite, le projet tentera, par des dispositifs sobres ; la frugalité, le low-tech et les matériaux bio et géo sources, de répondre à une échelle plus petite pour limiter l’impact de nos habitats sur les sols et la biodiversité. Ce travail ne présente pas un modèle unique, il est l’ouverture vers des possibles et appel à repenser nos manières de concevoir les espaces, non plus comme des objets isolés, mais comme expression locale du vivant.RuralLogementsEtalement urbainDensitéVivre le rural: habiter sans débordertext::thesis::master thesis