Coulie, Pierre G.Niyitegeka, GratiaGratiaNiyitegeka2025-05-142025-05-142025-05-142023https://hdl.handle.net/2078.2/35032L’acquisition d’un cancer se fait par la mise au repos du système immunitaire antitumorale. Cela se fait par le biais de plusieurs mécanismes. Pour éliminer ces tumeurs, une possibilité de traitement est de réveiller ce système immunitaire. C’est sur base de cette hypothèse que sont nées les immunothérapies de point de contrôle. Elles comprennent deux classes de traitement : les anti-CTLA-4 et les anti- PD1/PD1L. Ces thérapies présentent des très bons résultats en clinique. Cependant, elles ont des limites à leur efficacité : les effets secondaires, la résistance primaire et secondaire au traitement. Pour répondre à ces problèmes une classe innovante d’immunothérapie se propose en association : les virus oncolytiques. Une première partie de ce mémoire se consacre à la présentation des virus oncolytiques et de leurs caractéristiques. L’objectif principale de ce mémoire est de discuter de leur utilisation en association avec les immunothérapies de point de contrôle et d’évaluer si ces associations repoussent les limites des immunothérapies de point de contrôle sans en augmenter leur toxicité.Virus oncolytiquesanti-CTLA4Talimogene LaherparepvecpembrolizumabIpilimumabImmunothérapieanti-PD1/PD1LLes virus oncolytiques et leur association aux immunothérapies de point de contrôletext::thesis::master thesisthesis:41497