Soares Frazao, SandraBousmar, DidierAdyns, LisaLisaAdynsAdriaens, DelphineDelphineAdriaens2025-05-142025-05-142025-05-142023https://hdl.handle.net/2078.2/40514Les inondations sont un problème fréquent en Belgique, ainsi que dans de nombreux pays à travers le monde. L'événement majeur de juillet 2021 a entraîné d'importants dommages matériels, notamment aux bâtiments. Afin de prévenir ces dégâts et de s'en prémunir, il est essentiel de quantifier les sollicitations exercées sur les bâtiments. Dans cette étude, deux approches ont été utilisées. Tout d'abord, un dispositif expérimental a été mis en place pour simuler l'influence d'un écoulement consécutif à une rupture de barrage sur un bâtiment isolé. Des instruments de mesure ont permis de mesurer les hauteurs d'eau et les vitesses à certains endroits de l'écoulement. Les pressions et profils de hauteurs d'eau sur la face avant du bâtiment ont également été capturés. En parallèle, des simulations numériques ont été réalisées sur le cas réel de la ville de Pepinster. L'utilisation de différentes approches de calcul des efforts ont permis de confronter les résultats obtenus. Les résultats indiquent que, dans les deux cas, la composante hydrostatique des forces est prédominante. Dans les expériences, hormis au moment de l'impact de l'onde de rupture de barrage sur l'obstacle, la composante hydrodynamique est négligeable. En revanche, dans le cas de Pepinster, les vitesses sont suffisantes pour générer des forces hydrodynamiques. Cependant, cette étude présente certaines limites, notamment en ce qui concerne la reproduction des effets tridimensionnels, qui sont particulièrement présents au début de l'expérience. Afin d'améliorer le modèle, il est envisageable de diversifier le dispositif expérimental et d'utiliser un modèle tridimensionnel pour les simulations.Floods are a frequent problem in Belgium, as well as in many countries around the world. The major event in July 2021 caused significant material damage, particularly to buildings. In order to prevent and protect against such damage, it is essential to quantify the forces exerted on buildings. In this study, two approaches were used. Firstly, an experimental setup was implemented to simulate the influence of a dam-break flow on an isolated building. Measurement devices were used to recorded water levels and velocities at specific locations of the flow. Pressures and water height profiles on the front face of the building were also measured. In parallel, numerical simulations were carried out on the real case of the city of Pepinster. The use of different approaches for calculating forces allowed for a comparison of the obtained results. The findings indicate that, in both cases, the hydrostatic component of the forces is predominant. In the experiments, except during the impact of the dam-break wave on the obstacle, the hydrodynamic component is negligible. However, in the case of Pepinster, the velocities are sufficient to generate hydrodynamic forces. Nevertheless, this study has some limitations, particularly regarding the reproduction of three-dimensional effects, which are particularly important during the initial stages of the experiment. To enhance the model, it is possible to diversify the experimental setup and use a three-dimensional model for the simulations.FloodDam-break flowInondationRupture de barrageExpériencesExperimentsForcesEtude expérimentale de la résistance des bâtiments en cas de cruetext::thesis::master thesisthesis:40658