Hinnekens, SimonVervloet, GrégoryFickers, ElèneElèneFickers2025-05-142025-05-142025-05-142022https://hdl.handle.net/2078.2/26709Objectif : Valider l’utilisation de la position modifiée d’un exercice bien connu dans la littérature, le Copenhagen Adduction (CA) stade 1 et de vérifier si son utilisation est aussi efficace que dans la position de base. Méthode : Un échantillon de 31 hommes de 18 à 29 ans sans pathologie récente ou chronique générale, a été analysé. Cet échantillon a effectué trois contractions maximales isométriques volontaires (MIVC : « Maximal Isometric Volontary Contraction ») et cinq contractions dynamiques respectivement dans les deux positions. Pour analyser l’activité musculaire, l’électromyographie superficiel (EMGs) a été placée sur trois muscles différents (long adducteur, droit antérieur de la cuisse et semi-tendineux). Un dynamomètre a permis de connaitre la force développée par la jambe dominante lors des MIVC. Résultats : Les données récoltées par l’EMGs n’ont montré aucune différence significative de l’activité musculaire du muscle long adducteur entre les deux positions (p=0,724). La moyenne de l’activité musculaire du muscle long adducteur des 3 cycles pour tous les sujets dans la position CA stade 1 était de 62,71 ± 36,35 (%MIVC) et de 67,62 ± 46,11 (%MIVC) pour la position modifiée. La force mesurée avec le DMA durant la MIVC normalisée par la masse corporelle du sujet n’a également montré aucune différence significative (p=0,361). La force moyenne était de 3,75 N/kg ± 0,57 pour la position CA stade 1 et 3,81 N/kg ± 0,65 pour la position modifiée. Conclusion : L’activité musculaire du muscle long adducteur et la force maximale présentant des résultats similaires dans les deux positions, la position CA stade 1 modifiée pourrait présenter un intérêt pour la rééducation ou le renforcement des adducteurs.EMGCopenhagen adductionLong adductorhand-held dynamometertext::thesis::master thesisthesis:34391