Douxfils, JonathanDelfosse, SarahSarahDelfosse2025-05-142025-05-142025-05-142019https://hdl.handle.net/2078.2/18924Depuis 2008, pour parer aux problèmes thromboemboliques, ont fleuri de nouveaux anti-coagulants oraux : les DOACs. Au fil du temps et de l’autorisation de leur mise sur le marché, les DOACs ont vu leur spectre d’activité s’élargir ; d’autres indications sont d’ailleurs encore en cours d’évaluation et/ou à l’étude. Il semble donc que les DOACs aient un bel avenir devant eux, d’autant plus que de nouveaux antidotes spécifiques pourraient voir aussi le jour. Cependant, malgré cette belle évolution, un paramètre semble constant : l’importance cruciale du pharmacien clinicien à deux niveaux au moins : - Au sein de l’équipe médicale, de nombreux paramètres (physiologie et physiopathologie du patient, son observance mais aussi les possibles interactions médicamenteuses pharmacodynamiques et pharmacocinétiques, sans oublier les interactions non médicamenteuses) sont à prendre en compte pour aboutir à « la » prescription adéquate du traitement à administrer à chaque patient ; - Au niveau de sa relation avec le patient, voire avec sa famille, il doit lui transmettre le bon usage du médicament, l’« éduquer » afin que celui-ci soit attentif à la bonne observance de son traitement, aux effets secondaires et aux signaux d’alarme éventuels. Enfin, le pharmacien clinicien doit également prendre en compte le facteur économique de ces DOACs.pharmacien clinicienpropriétés pharmacologiquesfacteurs à prendre en compteDOACNOACADOanticoagulants directs orauxPosition du pharmacien clinicien dans la prise en charge des patients sous DOAC en milieu hospitaliertext::thesis::master thesisthesis:17930