Bogaert, PatrickKoten, GauthierGauthierKoten2025-05-142025-05-142025-05-142024https://hdl.handle.net/2078.2/41527Cette étude vise à développer un modèle de type Land Use Regression (LUR) pour pré- dire les concentrations annuelles moyennes de NO2 dans la région de Bruxelles-Capitale, en utilisant les données de la campagne CurieuzenAir effectuée en septembre 2019. Cet objectif est réalisé en identifiant et intégrant des proxies pertinents sélectionnés grâce à des tests statistiques effectués dans Rstudio : la densité de circulation, l’altitude, la hiérarchie des routes, la densité de flux de circulation et la densité de population. Le modèle ainsi créé permet d’expliquer 66% des variations des concentrations de NO2. Cependant, une analyse plus approfondie des résidus révèle qu’il existe encore certaines variations à courte distance qui ne sont pas capturées par le modèle, suggérant que des variables supplémentaires pour- raient être encore ajoutées à celui-ci afin d’augmenter ses performances. L’étude souligne également la difficulté du modèle à identifier l’influence relative de chaque proxy utilisé et donc l’impossibilité de tirer de vraies conclusions sur les sources et indicateurs de pollutions au NO2 pour la RBC. Malgré ces limitations, le modèle proposé offre une alternative fiable aux modèles traditionnels plus coûteux et complexes.LURPollutionRégion Bruxelles-CapitaleProxyModélisation des concentrations en N02 dans la région de Bruxelles-Capitale grâce à la méthode LURtext::thesis::master thesisthesis:47800