Coolsaet, BrendanHuillard, PaulinePaulineHuillard2025-05-142025-05-142025-05-142024https://hdl.handle.net/2078.2/39899Ce mémoire examine la portée de la critique d’essentialisme formulée à l’encontre des mouvements écoféministes. Par le biais d’une étude qualitative fondée sur une récolte de données par entretiens auprès d’actrices s’intéressant à l’écoféminisme en Belgique francophone, l’analyse a été réalisée par le biais d’une méthode de théorisation ancrée. Cela a permis de mettre en avant un rejet unanime, par les acteur∙rices du mouvement, de la critique d’essentialisme fait à l’encontre de ce dernier. En évoquant les dimensions structurelle et intersectionnelle de l’écoféminisme, ainsi que sa volonté de renverser les cadres conceptuels traditionnels, il apparait donc clair que les acteur∙rices écoféministes refusent cette critique d’essentialisme, et invoquent une plus grande complexité de la réflexion.écoféminismegenreenvironnementessentialismereclaimtext::thesis::master thesisthesis:48036