Hinnekens, SimonLebleu, JulienMengal, SimonSimonMengalThiebaut, JulesJulesThiebaut2025-05-142025-05-142025-05-142021https://hdl.handle.net/2078.2/23757Objectif : Évaluer l’intérêt de l’utilisation de l’unité de mesure inertielle (IMU) et de l’électromyographie (EMG) dans l’évaluation de la fatigue des muscles du tronc lors du test de Sorensen. Méthode : Un échantillon de dix hommes de 18 à 25 ans sans antécédents de pathologie du dos a été analysé. Ils ont accompli trois tests de contraction maximale volontaire (MVC : « Maximal Voluntary Contraction ») et deux tests de fatigue selon le test de Sorensen. Chaque test de fatigue était suivi d’un temps de repos durant lequel ils ont répondu à trois questionnaires (Diagramme corporel, Échelle de Borg, Échelle Visuelle Analogique (EVA)). L’électromyographie (EMG) a été utilisée sur 6 paires de muscles (oblique externe, grand droit, grand dorsal, carré des lombes, paravertébraux lombaires et thoraciques). L’IMU a permis de calculer des vitesses angulaires, des accélérations et des variations d’angles. Résultats : Une bonne répétabilité pour la vitesse angulaire (ICC>0,7) a été observée. De plus, une augmentation de la vitesse angulaire de 50 à 80% entre le début et la fin de chaque test est montrée. Au niveau des EMG, un pourcentage d’augmentation plus important pour les signaux musculaires des grands dorsaux est à noter par rapport aux autres muscles. Les paravertébraux thoraciques et lombaires montrent une activation plus importante vis-à-vis des autres muscles. Conclusion : L’IMU et l’EMG mis en relation montre des résultats concordants concernant l’analyse de la fatigue et pourrait donc être un outil indicatif de la fatigue moyennant des études supplémentaires.Analyse FatigueTest de SorensenEMGIMUmuscles du troncAnalyse de la fatigue des muscles du tronc selon le test de Sorensen via Electromyographie (EMG) et Unité de Mesure Inertielle (IMU)text::thesis::master thesisthesis:31440