Poncin, WilliamLatiers, Anne-ClaireGosselin, HortenseHortenseGosselinMoreau, CharlotteCharlotteMoreauTrannin, MathildeMathildeTrannin2025-05-142025-05-142025-05-142022https://hdl.handle.net/2078.2/28290Objectif : Le but de cette étude est de comparer deux formes d’éducation thérapeutique du patient (ETP) sur l’activité physique (AP) pendant le traitement anticancéreux. Méthode : Les patients débutant leur traitement anticancéreux, ont été répartis aléatoirement dans 2 groupes, l’un recevant un livret d’informations (groupe contrôle) et l’autre recevant en plus, une interview orale avec le kinésithérapeute (groupe intervention). Le critère d’évaluation principal a été l’évolution du niveau d’AP entre T0 et T2, grâce au questionnaire IPAQ. Les critères d’évaluations secondaires ont été l’évolution du niveau d’AP entre T0 et T1 avec l’IPAQ, la mesure de la fatigue avec le questionnaire FACIT-F, la mesure de la qualité de vie avec le questionnaire EORTC QLQ-C30. Ces mesures ont été prises lors de leur premier jour de traitement (T0), 3 mois (T1) et 6 mois après (T2). Résultats : L’étude a montré 2 changements significatifs : une augmentation entre T0 et T2 pour le temps passé dans les transports actifs est constaté dans le groupe contrôle alors que dans le groupe intervention, ce temps diminue (p-valeur = 0,020). Dans le domaine du bien-être familial et social, une amélioration du score dans le groupe contrôle est constatée alors que dans le groupe intervention, le score diminue (p-valeur = 0,009). Conclusion : Les résultats n’ont pas permis de prouver une supériorité entre les 2 groupes de patients sur la pratique d’AP pendant leurs traitements anticancéreux à 3 et 6 mois.Education thérapeutiqueOncologieActivité physiquetext::thesis::master thesisthesis:36874