Théorie de l’intersectionnalité appliquée à Harry Potter : analyse des formes de domination dans les rapports sociaux de l’opus cinématographique « Harry Potter à l’école des sorciers »

Details

Supervisors

Fevery

Faculty

Faculté des sciences économiques, sociales, politiques et de communication

Degree label

Master [120] en communication, à finalité spécialisée (horaire décalé): culture et communication

Abstract

L’intersectionnalité dans le cinéma est au centre de ce travail, nous attardant comme d’autres avant nous à analyser si la représentation cinématographique permet de souligner des inégalités spécifiques à un groupe social, ou si elle entérine la situation des rapports sociaux. Le féminisme devient un réel argument commercial de la part des studios hollywoodiens. C’est aussi l’occasion de jauger et de juger l’intérêt d’utiliser l’intersectionnalité pour déchiffrer des façons de fonctionner présentes dans des films récents tant du côté de la réception que de la réalisation et permettant de créer de l’invisibilité au niveau de certains paramètres oppresseurs. C’est tout le projet de ce mémoire dans le cadre du premier volet des films Harry Potter. Nous aborder les rapports sociaux dans Harry Potter à l’école des sorciers par l’éclairage de l’intersectionnalité, notre problématique est d’une part de pouvoir trouver un angle d’approche dans un milieu qui n’est pas de l’ordre des relations antagoniques ou conflictuelles et d’autre part en allant au-delà de la place du héros.