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Quelle place pour l’acamprosate dans la pharmacothérapie de l’alcoolisme comparé au disulfiram et au nalméfène ?
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- L'alcool représente une source de plaisir pour la plupart des individus mais qu'arrive-t-il lorsque sa consommation n’est plus contrôlée par le patient ? On parle alors d’alcoolisme. La thérapie de première intention consiste en un suivi psychosocial du patient mais dans des cas où cette mesure ne suffit pas il est nécessaire d’avoir recours à des moyens pharmacologiques. On retrouve actuellement sur le marché belge trois molécules enregistrées pour le traitement de l’alcoolisme : l’acamprosate, le disulfiram et le nalméfène. Dans quel cas faudrait-il utiliser l’acamprosate plus tôt que le disulfiram et le nalméfène ? C’est la question abordée dans ce travail. On s’attardera tout d’abord sur une partie permettant la présentation des différentes molécules pour ensuite détailler les situations d’efficacité et de sécurité optimales ou non de celles-ci afin de définir au mieux la place qu’occupe l’acamprosate dans la pharmacothérapie de l’alcool parmi les médicaments enregistrés pour cette indication.