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Comment la perception du rôle de l’archiviste communal impacte l’exercice de ses missions
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- L’échelon communal est le rouage officiel où les édiles et l’administration sont au plus près des citoyens. Organismes publics, les communes sont autant de microcosmes où s’exerce le fonctionnement d’une société démocratique. Elles doivent assurer la bonne conservation des documents qu’elles produisent ou reçoivent. Particularité d’importance, elles doivent également veiller sur leurs archives historiques, contrairement aux autres organes de l’État. Le cadre théorique de l’archivistique suppose un champ d’action aujourd’hui très vaste. Transférée dans la réalité quotidienne d’un service d’archives communales, qu’en est-il concrètement ? La position d’archiviste communal est-elle une place évidente à occuper, une place à prendre, prise, ou peut-être à (ré)inventer ? Pour tenter de répondre à ces questions, cette étude débute par une immersion dans trois services d’archives de la Région de Bruxelles-Capitale. À travers le prisme des usages classiquement reconnus des archives, on découvre ensuite comment chacun des archivistes rencontrés conçoit son rôle et comment celui-ci est perçu par les acteurs qui l’entourent. L’analyse se termine par une mise en exergue des deux facteurs qui jouent un rôle déterminant dans la perception du rôle de l’archiviste. Il s’agit de sa formation d’une part, et de la place qui lui est donnée dans son institution d’autre part.