Niveau d’activité physique, barrières et facilitateurs de l’activité physique chez les personnes souffrantes de la maladie de Parkinson : revue systématique

Details

Supervisors

Kossi, Oyéné

Faculty

Faculté des sciences de la motricité

Degree label

Master [120] en sciences de la motricité, orientation générale, à finalité spécialisée: kinésithérapie en neurologie adulte

Abstract

Objectif : L’objectif de ce travail était d’identifier les niveaux d’activité chez les personnes atteintes de la maladie de la maladie de Parkinson et d’actualiser les barrières et les facilitateurs. Bien que l'activité physique soit bénéfique, divers obstacles limitent sa pratique. Méthodes : Une revue systématique a été menée sur les trois bases de données, résultant en 41 articles répondants aux critères d’inclusion. Les Essais Randomisés Contrôlés, les études transversales, les études qualitatives et les études longitudinales ont été inclus et évalués pour leur qualité méthodologique. Résultats : Bien que certaines personnes ayant la maladie de Parkinson parviennent à maintenir une activité physique, la majeure partie ne pratique pas une activité physique modérée à vigoureuse. Les barrières les plus fréquentes étaient la peur de chuter, les symptômes de la maladie et la fatigue, alors que les facilitateurs les plus récurrents étaient la connaissance des bénéfices de l’activité physique sur les symptômes de la maladie, le soutient familial et l’interaction sociale dans les groupes de sport. Les barrières demeurent plus influentes que les facilitateurs. Conclusion : Cette étude souligne l’importance de prendre en compte les barrières à l’activité physique et de favoriser les facilitateurs dans le contexte de la maladie de Parkinson. La standardisation de la mesure de l’activité physique reste nécessaire afin de mieux comprendre les comportements sédentaires ou actifs de cette population.